Un épisode inédit de « Noir comme neige » avec Laurent Gerra et Clémentine Poidatz

Il est très agaçant d’être poursuivi et pris pour cible par deux drones armés quand on est en train de s’adonner à sa passion : une très contemplative mais néanmoins sportive randonnée en solitaire dans la poudreuse des Alpes suisses. Le ski hors piste, c’est bien assez dangereux comme ça. Et recevoir le même jour par la poste une sculpture en bois d’un diable savoyard aux yeux rouges – assez vilain, du reste – est une plaisanterie d’un goût douteux. D’autant que le commandant de la police suisse Andréas Meyer – et contrairement à son interprète –, l’humour, ce n’est pas tellement son domaine.
Côté français, une statuette du même genre et tout aussi vilaine est retrouvée le même jour par Constance Vivier, adjudante au PGHM (Peloton de gendarmerie de haute montagne), près du corps de Victor Carron, un négociant en bois mystérieusement décédé en tombant du clocher d’une chapelle isolée. 
Une coïncidence difficile à avaler. Comme toujours, il faut commencer par le plus simple : la sculptrice Kate Karswell (Nancy Tate), dernière artiste locale à confectionner les fameuses statuettes de diables (d’où évidemment une réputation pas terrible terrible), devient la principale suspecte, tandis que des forces malfaisantes semblent s’acharner sur Andréas et Constance… Ensemble, ils vont tenter d’éclaircir cette ténébreuse affaire qui devient de plus en plus bizarre : après le coup des drones fous, c’est un portable qui prend feu, un pacemaker qui tombe en panne et enfin une voiture avec assistance GPS qui manque de tuer son conducteur… Malédiction ou manipulation ? Allez, devinez…

Voir la grille des programmes TV disponibles cette semaine