À l’occasion de la fête de l’Assomption, Le Jour du Seigneur vous invite à vivre la messe en direct du sanctuaire marial de Thierenbach, à Jungholtz, dans le Haut-Rhin. Un prieuré clunisien y fut fondé en 1130 et les moines y restèrent jusqu’à la Révolution. Le monastère, détruit lors de la guerre de Trente Ans, fut reconstruit vers 1720 dans le style baroque. Aujourd’hui, Thierenbach est un important centre de pèlerinage où les fidèles viennent de toute l’Alsace, mais aussi de l’étranger. Une légende raconte que des enfants près d’un ruisseau auraient aperçu dans l’eau une image de la Vierge. Les nombreux ex-voto offerts en remerciements à la Vierge et qui tapissent les murs de la basilique témoignent de la dévotion mariale du lieu.
Qu’est-ce que l’Assomption ?
« Chaque 15 août est célébrée l’Assomption de la Vierge Marie, c’est-à-dire la montée au ciel de la mère de Jésus. Pour nous, chrétiens, Marie représente la première personne humaine à entrer directement dans la gloire de Dieu, sans passer par la mort.
Cette tradition, bien que peu présente dans les Évangiles, est pourtant très ancienne et a été célébrée par les premiers chrétiens d’Orient. Jour férié en France depuis le règne de Louis XIII, ce n’est qu’au XXe siècle, en 1950, qu’elle est édifiée comme dogme religieux par le pape Pie XII. Cette fête s’accompagne fréquemment de processions religieuses dédiées à la Vierge Marie. »
Source : Le Jour du Seigneur
11.00 – Messe de l’Assomption célébrée en direct depuis le sanctuaire marial Notre-Dame de Thierenbach à Jungholtz (68)
Président et prédicateur, Monseigneur Paul-Richard Gallagher, secrétaire du Saint-Siège chargé des relations avec les États et les organisations internationales
Entre le pape François et La Pira, il y a de grands thèmes convergents, de grandes similitudes. La non-culture du dialogue qui existe aujourd’hui en Europe, aux États-Unis, en Chine, etc. Ce mépris du dialogue pour le bien commun, c’était justement l’un des chevaux de bataille du pape François. L’un de ses messages les plus importants, tout comme celui de La Pira.
Frère Gianni Festa, dominicain (ex-postulateur pour les causes des saints)
Vidéo. Giorgio La Pira, le saint maire de Florence (bande-annonce)
10.30 – Giorgio La Pira, le saint maire de Florence
Giorgio La Pira est l’un des hommes politiques italiens les plus influents du XXe siècle. Celui qui s’est fait tertiaire dominicain, et par dérogation franciscain, est un proche de la Démocratie chrétienne : il est même l’un des rédacteurs de la Constitution italienne de 1948. Ancré dans un catholicisme social, il dirige Florence après-guerre avec une telle aura qu’il est surnommé de son vivant le « saint maire ». Pourquoi ? Peut-être parce qu’il fait de l’Évangile son seul programme politique : préférence pour les pauvres et priorité à la paix, en ces temps de guerre froide et de menace nucléaire. Toute sa vie fut tournée vers le bien commun. Il est reconnu « vénérable » en 2018 par l’un de ses grands admirateurs, le pape François.
Documentaire (26 min – inédit) – Autrice et réalisatrice Vanessa Roué – Production CFRT – Le Jour du Seigneur
Ce documentaire et cette messe sont diffusés vendredi 15 août sur France 2 à partir de 10.15
Giorgio La Pira, le saint maire de Florence et la Messe de l’Assomption célébrée depuis le sanctuaire marial Notre-Dame de Thierenbach sont à voir et revoir sur france.tv