« L’École de la vie » referme les portes de sa deuxième saison

Après avoir suivi les tribulations scolaires et personnelles de Vincent Picard, le prof d’histoire-géo interprété par Guillaume Labbé, L’École de la vie rouvre ses portes pour une seconde saison inédite. Dans la lignée des premiers épisodes, la série continue de plonger, entre comédie et émotion, au cœur du quotidien mouvementé de lycéens et de leur professeur.
Au programme de cette nouvelle année scolaire : six épisodes inédits (chacun se concentrant plus particulièrement sur la problématique d’un élève), une autre classe et une nouvelle professeure.
Cette fois, la série suit en effet les pas d’Alexandra Delage (Julie de Bona), enseignant le français et le théâtre à des élèves de première dont elle est par ailleurs la prof principale. Mais tout se complique quand sa maladie refait surface… Une épreuve qui pourrait mettre à mal son énergie positive, sa carrière et ses projets de famille. Pour la première fois de sa vie, celle qui adore aider les autres devra accepter de se faire aider. Y compris par l’équipe pédagogique du lycée dans laquelle on retrouve, pour notre plus grand plaisir, Léo Costa, le sympathique et drôlissime prof d’EPS interprété par Bruno Sanches, Carole Mine(Florence Pernel), la proviseure un peu fouineuse, ou encore l’étrange professeure de mathématiques, madame Joubert.

Interview de Julie de Bona : « Une série très positive sur les problématiques des adolescents »

Passionnée par son métier, Alexandra fait partie de ces professeurs aussi investis dans leurs cours que dans la vie de leurs élèves. « Dans la série, on se met vraiment à la place des professeurs, que l’on comprend beaucoup mieux, explique Julie de Bona, l’interprète d’Alexandra. Leur charge émotionnelle, mentale, affective aussi, parce qu’ils s’attachent forcément à ces gamins. »
Pour Nagui et Stéphanie Chartreu, les deux producteurs, « la série, loin des clichés, se veut réaliste et montre le soutien psychologique que beaucoup de professeurs d’aujourd’hui apportent à leurs élèves, en plus de leur travail d'enseignant ». Au-delà des apprentissages scolaires, Alexandra accompagne ainsi ses élèves dans leur quotidien, à un moment charnière de leur vie, celui du passage, souvent complexe, à l’âge adulte. « Elle va essayer de leur transmettre sa passion, de les pousser à penser par eux-mêmes et à s’en sortir », explique Julie de Bona. Et Alexandra n’hésite pas à tenter de résoudre les problèmes auxquels ses élèves sont confrontés. Drogue, famille d’accueil défaillante, exhibitionnisme, deuil d’un camarade, troubles alimentaires, maladie psychique chronique… « En abordant ces thèmes de société, la série invite les téléspectateurs, adolescents et parents, à mieux se parler, à créer du débat pour mieux se comprendre », expliquent les producteurs. « C’est presque pédagogique, ajoute Julie de Bona. À travers le cas de chaque ado, on peut se projeter et comprendre où sont les solutions pour s’en sortir… » 
Au fil des parcours de vie sinueux de ses jeunes héros et avec l’empathie formidable de son personnage principal, L’École de la vie met ainsi en lumière toute une profession, œuvrant à construire un monde meilleur et la société de demain.